"Ecoeuré" par cette nouvelle, Jean-René Bernaudeau, le directeur sportif de Bonjour, a indiqué dimanche matin avant le départ de la première étape que l'ensemble des coureurs présents sur le Tour (Lelarge ne faisait pas partie de cette sélection) était sous le choc.
" Le laboratoire de Lausanne a détecté dans ses urines de la Triamcinolone acétonide (un glucocorticostéroïde). Noan Lelarge n'a pu fournir aucune explication et n'a pas sollicité de contre-expertise ", précise un communiqué de la formation vendéenne, qui dénonce cet " acte individuel totalement irresponsable ".
" Plus que jamais, Jean-René Bernaudeau et les dirigeants de l'équipe Bonjour entendent tirer les leçons de cet évènement douloureux, poursuivre leur lutte contre le dopage, renforcer leur vigilance et avancer avec une rigueur toujours accrue sur la voie d'un cyclisme sain, fondé sur la prévention et la formation ", conclut le communiqué.