La méthode Panthrax, alternative contre le dopage ?

Patrick Peytavi a créé la méthode Panthrax en 1993. Inventeur d’un art martial nommé Chindaï, qui est enseigné dans différentes universités françaises, cette technique est basée sur la structure énergétique du corps...

Il commence à travailler dans le milieu sportif en Albanie avec un champion de lutte puis prend en charge les volleyeurs de ce même pays qui parviennent en finale du championnat d’Europe. En 1996, il rentre en France et remet sur pied plusieurs joueurs de l’OM mais s’occupe également de délinquants et toxicomanes dans le cadre de son emploi. Des sportifs comme Olivier Merle ou Sébastien Deleigne (pentathlon moderne) commencent alors à le consulter régulièrement. Au début de la saison 1998-99, Pierre Berbizier fait appel à lui pour prendre en charge le RCNM dans un souci de prévention contre le dopage. Depuis quelques mois, il est en train de mettre en place dans la région bordelaise un centre de soins tout en apportant des conseils aux joueurs du CABBG.

Très connu dans le milieu du rugby, la liste des joueurs ayant fait appel à lui ne cesse d’augmenter. Stoïca, Furet, Sid ou Bellot adoptent le Panthrax devant les échéances exigées par le calendrier. Cette méthode naturelle intervient sur le corps énergétique de la personne qui passe par un travail personnalisé en fonction de l’individu. Patrick Peytavi transmet de l’énergie par ses mains et grâce à des cristaux représentant des bains de couleurs qui correspondent à des sons. En y ajoutant une visualisation de ces couleurs par la respiration, il augmente le potentiel énergétique de son patient en faisant reculer le seuil de fatigue. Du coup, le sportif accélère son processus de récupération en abaissant sensiblement son rythme cardiaque.